1 Le club des célibataires affirmées, assumées et confirmées ! Dim 9 Oct 2011 - 15:51
Bellatrix Black
Bonjours à toutes (et même à tous, après tout, il n'y a pas que les mecs qui brisent les cœurs).
Je crée ce club des célibataires pour toutes celles - et tous ceux - qui ont déjà eu le cœur brisé par un espèce de scroutt à pétard sorti de l'arrière-train de veracrasse au cerveau écrabouillé par un Magyar à pointes, mais pourtant il vous a fait chavirer et fait naître en vous des flammes comme celles du Fumseck, même s'il n'avait pas forcément le physique de Tom Jedusor, Drago Malfoy ou encore Gilderoy Lockhart
Je commence donc par un exemple : en tant qu'Impératrice de l'Armée des Mangemorts et déese du culte des Crétines Chrétiennes, je me trouve en droit de vous exposer mon expérience personnelle
Je ne l'aime plus, je ne le supporte plus, je ne peux plus le voir, je le déteste, je le HAIS, JE LE HAIS, JE L’EXÈCRE, JE LE MAUDIS JUSQU'AU DERNIER CRÉTIN ET LA DERNIÈRE P********** QU'IL ENGENDRERA !!!!!!!
Vous êtes sans doute au courant, du moins pour la plupart d'entre vous, que je suis éperdument éprise d'un homme.
Cet homme, je l'ai rencontré pour la première fois lorsque j'étais en Seconde, mais je ne l'ai connu véritablement qu'en Première ES, lorsque nous étions dans la même classe (et en plus, on se suivait dans l'ordre alphabétique).
Il s'appelait Jean. Ce n'était peut-être pas le plus beau, il est vrai, mais j'ai été séduite dès que mon regard s'est posé sur lui (foutu Cupidon ! >< )
On a fait plus ample connaissance par la suite, et il a pu me montrer l'étendue de son savoir : il était doué en économie, il était passionné d'Histoire et semblait la connaître par cœur, plus que tous les professeurs réunis !
Il était catholique, anticlérical certes, mais croyant, et avait lu la Bible. Moi aussi, et on a eu des discussions religieuses très intéressantes.
Il était Breton, et fier de l'être, fier de sa région (sans blague ? ).
Il était totalement aveuglée par sa passion : l'Armée. Un rien de critique le mettait en colère, et il partait au quart de tour dans de grands discours élogieux, défendant son Armée qui lui était si chère.
Par cela, il était profondément patriote, même si parfois il désirait que la Bretagne soit indépendante de la France. Il souhaitait que l'Algérie et l'Indochine soient à nouveau des colonies de la France. Il connaissait toute l'Histoire de la France, ses hymnes et ses symboles, ses régions et son patrimoine, sa langue et sa population. Le matin, il aurait voulu que tout le monde se lève au son du clairon et chante La Marseillaise, ou bien le Chant du départ (hymne Français sous Napoléon Ier), sous le drapeau Français qui se lève.
Oui, il était réactionnaire. Il était Front National. Il était raciste, antisémite, macho, misogyne et homophobe, et il prenait un malin plaisir à dire le contraire aux professeurs. Il votera Marine Le Pen l'année prochaine, il n'y a pas de doute là-dessus.
Les Noirs qui devaient être réduits à l'esclavage, les Juifs qui devaient être exterminés, les Arabes et les Maghrébins de France qui devaient être expulsés, les Chinois qui devaient rester chez eux au lieu d'envahir le monde, les Américains qui dirigeaient la planète, l'Église catholique qui n'avait rien compris à la Foi chrétienne, les patrons qui n'étaient pas à plaindre par rapport aux ouvriers, les femmes qui, par tradition, évidence et "normalité", devaient être soumise aux hommes... Tout y passait. Et ces critiques, il les faisait à travers des blagues plus que douteuses.
Idées pas très réjouissantes, n'est-ce pas ?
Il était aussi révolutionnaire. Il était profondément en colère contre la société actuelle, et ne manquait pas de faire savoir son animosité en partant dans de grands débats. Nos cours de Politique (Spécialité économie) au lycée sont encore dans ma mémoire. Malheureux celui qui n'était pas d'accord avec lui !
Il était discret. Il ne parlait jamais de lui, n'aimait pas s'afficher au premier plan, loin d'être égoïste, égocentrique et fier de lui. Il semblait s'effacer, ne se mêlait jamais de ce qui ne le regardait pas.
Il était direct. Très franc (normal, il est en France, ah ah ah ), il n'hésitait pas à dire carrément en face ce qu'il pensait. Il n'était pas la délicatesse incarnée, cela est certain.
Il était gentil, pourtant. Souvent drôle. Toujours enthousiaste. Très souvent pensif, le regard dans le vague (et ses beaux yeux gris... ).
Mais malgré tous ses petits-gros défauts, je l'aimais. Pauvre de moi
Je ne lui ai jamais dit, mais je lui ai bien fait comprendre. Par des SMS où je le complimentais, où je lui exprimais mes sentiments mais avec des mots voilés, par des regards tendres toute la journée... Mais surtout par le baiser que je lui ai volé la dernière fois que l'on s'est vus. Et il n'a pas réagi. Il semblait même avoir apprécié.
Il avait un an de plus que moi, et lorsqu'en Terminale approchait la date de ses 18 ans, j'ai remué ciel et terre, j'ai fait le tour de tous ses amis pour pouvoir organiser un dîner au restaurant, et lui offrir un magnifique cadeau que l'on a tous acheté en commun (je ne sais plus ce que c'est, ma mémoire a soudainement effacé cette épisode ! ).
Lorsque je suis allée à New York, en Avril dernier, j'ai dépensé 63 dollars pour un superbe polo de chez Abercrombie, que vous pouvez visionner ici. Gris clair, comme la couleur de ses yeux
Je voulais aussi profiter de mon voyage en Inde pour lui ramener de la soie, les tissus de là-bas m'émerveillent véritablement.
J'avais une très basse estime de moi-même, je savais que je n'étais pas à la hauteur de ses exigences. Je savais que je n'étais ni assez belle, ni assez intelligente, ni assez gentille pour lui.
Et pourtant, je suis restée, depuis la Première jusqu'à il y a 2 jours à peine, dans un rêve où je m'imaginais dans ses bras, où il viendrait me retrouver pour reprendre contact... Ou notre amitié serait restée intacte malgré le temps perdu.
J'étais consciente que je ne le reverrais plus pendant un sacré laps de temps, formation militaire oblige. Je m'étais persuadée qu'il tenait à moi, alors...
J'étais dans une bulle où pour moi la vie n'avait qu'un seul but : je souhaitais travailler, me concentrer sur mes études de droit et devenir juge pour oublier son absence ; travailler pour oublier qu'il n'était pas là, auprès de moi...
Je me voyais déjà dans un château avec une chapelle dans laquelle j'aurais construit une statue à son effigie, avec des tas d'offrandes à ses pieds.
Je voyais déjà les grands tableaux dans l'escalier, sur lesquels je serais représentée assise, en robe blanche de voile, de volants et de dentelle, avec lui debout derrière moi, en uniforme de l'Armée de terre du style du Premier Empire, avec un bras protecteur sur mon épaule.
Tableau très romantique du XIXème siècle...
Je voulais accumuler la plus grosse fortune possible pour que, le jour où je me suiciderai, il hérite de cette fortune...
Après le bac, j'ai perdu contact avec lui et presque tous ceux de ma classe. Ceux qui sont en faculté de droit avec moi n'ont pas de ses nouvelles non plus.
Mais hier, j'ai retrouvé la trace d'un de ses meilleurs amis (qui par ailleurs sort avec mon ex-meilleure amie, mais bon on s'en fout ).
Et ça, c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
J'ai appris que je n'avais jamais rien été pour Jean. Que toutes ses belles paroles n'étaient que des mensonges.
Par où commencer...
Pendant près de deux ans, de la Première jusqu'au bac, il m'a prise pour une c* , pour la p* de service.
Pendant tout ce temps, il me regardait toute la journée, discutait souvent, riait souvent avec moi ; il m'avait envoyé tout plein de SMS dans lesquels il me disait qu'il me trouvait belle, que j'étais parfaite à ses yeux. Il me disait qu'il n'était pas encore prêt pour une relation sérieuse. Il me disait qu'il pouvait se passer quelque chose entre nous, mais il ne voulait pas que cette "relation intime possible" nous déconcentre du bac. Il m'a même offert un livre, comme ça, juste pour me faire plaisir. Il m'a dit qu'il me faisait confiance, qu'on était amis, voire même plus. Il me baisait la joue, de temps en temps. Tous les matins, il semblait heureux de me voir, il souriait lorsque je lui faisais la bise.
Il m'avait même dit que je n'avais pas à m'inquiéter, que je le reverrai après le bac.
Il avait même parlé de moi à sa mère. Qui a dit à ma propre mère qu'il m'aimait énormément.
Il m'avait dit qu'il tenait à moi et à notre amitié...
Je crée ce club des célibataires pour toutes celles - et tous ceux - qui ont déjà eu le cœur brisé par un espèce de scroutt à pétard sorti de l'arrière-train de veracrasse au cerveau écrabouillé par un Magyar à pointes, mais pourtant il vous a fait chavirer et fait naître en vous des flammes comme celles du Fumseck, même s'il n'avait pas forcément le physique de Tom Jedusor, Drago Malfoy ou encore Gilderoy Lockhart
Je commence donc par un exemple : en tant qu'Impératrice de l'Armée des Mangemorts et déese du culte des Crétines Chrétiennes, je me trouve en droit de vous exposer mon expérience personnelle
- Spoiler:
Je ne l'aime plus, je ne le supporte plus, je ne peux plus le voir, je le déteste, je le HAIS, JE LE HAIS, JE L’EXÈCRE, JE LE MAUDIS JUSQU'AU DERNIER CRÉTIN ET LA DERNIÈRE P********** QU'IL ENGENDRERA !!!!!!!
Vous êtes sans doute au courant, du moins pour la plupart d'entre vous, que je suis éperdument éprise d'un homme.
Cet homme, je l'ai rencontré pour la première fois lorsque j'étais en Seconde, mais je ne l'ai connu véritablement qu'en Première ES, lorsque nous étions dans la même classe (et en plus, on se suivait dans l'ordre alphabétique).
Il s'appelait Jean. Ce n'était peut-être pas le plus beau, il est vrai, mais j'ai été séduite dès que mon regard s'est posé sur lui (foutu Cupidon ! >< )
On a fait plus ample connaissance par la suite, et il a pu me montrer l'étendue de son savoir : il était doué en économie, il était passionné d'Histoire et semblait la connaître par cœur, plus que tous les professeurs réunis !
Il était catholique, anticlérical certes, mais croyant, et avait lu la Bible. Moi aussi, et on a eu des discussions religieuses très intéressantes.
Il était Breton, et fier de l'être, fier de sa région (sans blague ? ).
Il était totalement aveuglée par sa passion : l'Armée. Un rien de critique le mettait en colère, et il partait au quart de tour dans de grands discours élogieux, défendant son Armée qui lui était si chère.
Par cela, il était profondément patriote, même si parfois il désirait que la Bretagne soit indépendante de la France. Il souhaitait que l'Algérie et l'Indochine soient à nouveau des colonies de la France. Il connaissait toute l'Histoire de la France, ses hymnes et ses symboles, ses régions et son patrimoine, sa langue et sa population. Le matin, il aurait voulu que tout le monde se lève au son du clairon et chante La Marseillaise, ou bien le Chant du départ (hymne Français sous Napoléon Ier), sous le drapeau Français qui se lève.
Oui, il était réactionnaire. Il était Front National. Il était raciste, antisémite, macho, misogyne et homophobe, et il prenait un malin plaisir à dire le contraire aux professeurs. Il votera Marine Le Pen l'année prochaine, il n'y a pas de doute là-dessus.
Les Noirs qui devaient être réduits à l'esclavage, les Juifs qui devaient être exterminés, les Arabes et les Maghrébins de France qui devaient être expulsés, les Chinois qui devaient rester chez eux au lieu d'envahir le monde, les Américains qui dirigeaient la planète, l'Église catholique qui n'avait rien compris à la Foi chrétienne, les patrons qui n'étaient pas à plaindre par rapport aux ouvriers, les femmes qui, par tradition, évidence et "normalité", devaient être soumise aux hommes... Tout y passait. Et ces critiques, il les faisait à travers des blagues plus que douteuses.
Idées pas très réjouissantes, n'est-ce pas ?
Il était aussi révolutionnaire. Il était profondément en colère contre la société actuelle, et ne manquait pas de faire savoir son animosité en partant dans de grands débats. Nos cours de Politique (Spécialité économie) au lycée sont encore dans ma mémoire. Malheureux celui qui n'était pas d'accord avec lui !
Il était discret. Il ne parlait jamais de lui, n'aimait pas s'afficher au premier plan, loin d'être égoïste, égocentrique et fier de lui. Il semblait s'effacer, ne se mêlait jamais de ce qui ne le regardait pas.
Il était direct. Très franc (normal, il est en France, ah ah ah ), il n'hésitait pas à dire carrément en face ce qu'il pensait. Il n'était pas la délicatesse incarnée, cela est certain.
Il était gentil, pourtant. Souvent drôle. Toujours enthousiaste. Très souvent pensif, le regard dans le vague (et ses beaux yeux gris... ).
Mais malgré tous ses petits-gros défauts, je l'aimais. Pauvre de moi
Je ne lui ai jamais dit, mais je lui ai bien fait comprendre. Par des SMS où je le complimentais, où je lui exprimais mes sentiments mais avec des mots voilés, par des regards tendres toute la journée... Mais surtout par le baiser que je lui ai volé la dernière fois que l'on s'est vus. Et il n'a pas réagi. Il semblait même avoir apprécié.
Il avait un an de plus que moi, et lorsqu'en Terminale approchait la date de ses 18 ans, j'ai remué ciel et terre, j'ai fait le tour de tous ses amis pour pouvoir organiser un dîner au restaurant, et lui offrir un magnifique cadeau que l'on a tous acheté en commun (je ne sais plus ce que c'est, ma mémoire a soudainement effacé cette épisode ! ).
Lorsque je suis allée à New York, en Avril dernier, j'ai dépensé 63 dollars pour un superbe polo de chez Abercrombie, que vous pouvez visionner ici. Gris clair, comme la couleur de ses yeux
Je voulais aussi profiter de mon voyage en Inde pour lui ramener de la soie, les tissus de là-bas m'émerveillent véritablement.
J'avais une très basse estime de moi-même, je savais que je n'étais pas à la hauteur de ses exigences. Je savais que je n'étais ni assez belle, ni assez intelligente, ni assez gentille pour lui.
Et pourtant, je suis restée, depuis la Première jusqu'à il y a 2 jours à peine, dans un rêve où je m'imaginais dans ses bras, où il viendrait me retrouver pour reprendre contact... Ou notre amitié serait restée intacte malgré le temps perdu.
J'étais consciente que je ne le reverrais plus pendant un sacré laps de temps, formation militaire oblige. Je m'étais persuadée qu'il tenait à moi, alors...
J'étais dans une bulle où pour moi la vie n'avait qu'un seul but : je souhaitais travailler, me concentrer sur mes études de droit et devenir juge pour oublier son absence ; travailler pour oublier qu'il n'était pas là, auprès de moi...
Je me voyais déjà dans un château avec une chapelle dans laquelle j'aurais construit une statue à son effigie, avec des tas d'offrandes à ses pieds.
Je voyais déjà les grands tableaux dans l'escalier, sur lesquels je serais représentée assise, en robe blanche de voile, de volants et de dentelle, avec lui debout derrière moi, en uniforme de l'Armée de terre du style du Premier Empire, avec un bras protecteur sur mon épaule.
Tableau très romantique du XIXème siècle...
Je voulais accumuler la plus grosse fortune possible pour que, le jour où je me suiciderai, il hérite de cette fortune...
Après le bac, j'ai perdu contact avec lui et presque tous ceux de ma classe. Ceux qui sont en faculté de droit avec moi n'ont pas de ses nouvelles non plus.
Mais hier, j'ai retrouvé la trace d'un de ses meilleurs amis (qui par ailleurs sort avec mon ex-meilleure amie, mais bon on s'en fout ).
Et ça, c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
- Spoiler:
J'ai appris que je n'avais jamais rien été pour Jean. Que toutes ses belles paroles n'étaient que des mensonges.
Par où commencer...
Pendant près de deux ans, de la Première jusqu'au bac, il m'a prise pour une c* , pour la p* de service.
Pendant tout ce temps, il me regardait toute la journée, discutait souvent, riait souvent avec moi ; il m'avait envoyé tout plein de SMS dans lesquels il me disait qu'il me trouvait belle, que j'étais parfaite à ses yeux. Il me disait qu'il n'était pas encore prêt pour une relation sérieuse. Il me disait qu'il pouvait se passer quelque chose entre nous, mais il ne voulait pas que cette "relation intime possible" nous déconcentre du bac. Il m'a même offert un livre, comme ça, juste pour me faire plaisir. Il m'a dit qu'il me faisait confiance, qu'on était amis, voire même plus. Il me baisait la joue, de temps en temps. Tous les matins, il semblait heureux de me voir, il souriait lorsque je lui faisais la bise.
Il m'avait même dit que je n'avais pas à m'inquiéter, que je le reverrai après le bac.
Il avait même parlé de moi à sa mère. Qui a dit à ma propre mère qu'il m'aimait énormément.
Il m'avait dit qu'il tenait à moi et à notre amitié...
MENSONGES !!!!!!!!!!!!
Cet ami - que nous nommerons Mathias - en qui je fais énormément confiance car je le connais depuis le CE2 et m'a toujours soutenue depuis (même si on a perdu contact après le bac, mais bon, 4 ans d'éloignement ne représentent rien face à 10 ans de profonde amitié), m'a montré la véritable personnalité de l'homme que j'aimais plus que tout au monde.
Je ne remets pas en cause les paroles de cet ami et vous en ferez autant. Cela peut vous paraître étrange que l'un de ses meilleurs amis me confie tout cela, mais cela se comprend.
J'ai voulu reprendre contact avec cet ami et, une fois que cela fut fait, après lui avoir demandé comme lui-même avait évolué, j'ai souhaité m'enquérir du devenir de l'homme que j'aimais...
Cet ami, Mathias, savait que j'étais amoureuse de Jean, depuis que je lui ai dit au début de notre Terminale.
Mathias a été surpris que je sois toujours éprise de Jean. Il m'a dit qu'il fallait que j'arrête ; et pour cesser de rêver et d'être dans mon monde, il a décidé de tout me dire sur l'homme que j'aimais.
Mathias m'a révélé qu'en fait, Jean ne m'avait jamais appréciée. Jean déteste les dépressifs et autres tarés du bulbe (Bee ) tels que moi. Il faut dire que j'avais la réputation d'être une psycopathe (je vous jure, y'en a qui croyait que je sortais égorger des gens la nuit ! ).
En vérité, Jean ne pouvait pas me voir. Il me détestait même. Il faisait bonne figure toute la journée pour pouvoir jouer avec moi.
Mais derrière, il me critiquait à tout bout de champ. Ses meilleurs amis étaient les témoins du florilège d'insultes qu'il passait sur mon dos.
Il ne m'appréciait guère, déclarant même qu'il en avait marre que je le salue le matin, en arrivant au lycée. Il ne me comprenait et ne souhaitait pas me comprendre, me trouvant trop étrange. Trop folle.
Jean disait qu'il fallait que j'arrête de me faire des films - j'en déduis qu'il avait découvert que je l'aimais - car je n'étais réduite qu'à une m* pitoyable à ses yeux.
Il ne voulait pas du tout me revoir après le bac. Parce que je ne suis pas Bretonne
Et il ne cherche même pas à avoir de mes nouvelles.
Et pendant qu'il disait les pires monstruosités sur mon compte... Il... Il en aimait une autre !
Mon ami a conclu en me disant qu'il fallait que je l'oublie, qu'il y avait d'autres hommes de "bien" sur cette planète, et qu'il ne fallait pas que je déprime pour un pauvre abruti tel que Jean
Sur ce, je vous quitte, mes biens chers confrères
Je ne peux terminer sans vous partager mon dernier slogan :
Je ne remets pas en cause les paroles de cet ami et vous en ferez autant. Cela peut vous paraître étrange que l'un de ses meilleurs amis me confie tout cela, mais cela se comprend.
J'ai voulu reprendre contact avec cet ami et, une fois que cela fut fait, après lui avoir demandé comme lui-même avait évolué, j'ai souhaité m'enquérir du devenir de l'homme que j'aimais...
Cet ami, Mathias, savait que j'étais amoureuse de Jean, depuis que je lui ai dit au début de notre Terminale.
Mathias a été surpris que je sois toujours éprise de Jean. Il m'a dit qu'il fallait que j'arrête ; et pour cesser de rêver et d'être dans mon monde, il a décidé de tout me dire sur l'homme que j'aimais.
Mathias m'a révélé qu'en fait, Jean ne m'avait jamais appréciée. Jean déteste les dépressifs et autres tarés du bulbe (Bee ) tels que moi. Il faut dire que j'avais la réputation d'être une psycopathe (je vous jure, y'en a qui croyait que je sortais égorger des gens la nuit ! ).
En vérité, Jean ne pouvait pas me voir. Il me détestait même. Il faisait bonne figure toute la journée pour pouvoir jouer avec moi.
Mais derrière, il me critiquait à tout bout de champ. Ses meilleurs amis étaient les témoins du florilège d'insultes qu'il passait sur mon dos.
Il ne m'appréciait guère, déclarant même qu'il en avait marre que je le salue le matin, en arrivant au lycée. Il ne me comprenait et ne souhaitait pas me comprendre, me trouvant trop étrange. Trop folle.
Jean disait qu'il fallait que j'arrête de me faire des films - j'en déduis qu'il avait découvert que je l'aimais - car je n'étais réduite qu'à une m* pitoyable à ses yeux.
Il ne voulait pas du tout me revoir après le bac. Parce que je ne suis pas Bretonne
Et il ne cherche même pas à avoir de mes nouvelles.
Et pendant qu'il disait les pires monstruosités sur mon compte... Il... Il en aimait une autre !
Mon ami a conclu en me disant qu'il fallait que je l'oublie, qu'il y avait d'autres hommes de "bien" sur cette planète, et qu'il ne fallait pas que je déprime pour un pauvre abruti tel que Jean
Sur ce, je vous quitte, mes biens chers confrères
Je ne peux terminer sans vous partager mon dernier slogan :
"QUE JEAN AILLE SE FAIRE PÉTER LE C*L A LA GUERRE ET J'IRAI OUVRIR LE CHAMPAGNE SUR SA TOMBE EN ÉCLATANT DE RIRE COMME BELLATRIX AU NEZ DE SA P* DE COMPAGNE !!!!!!!!!!"
Je déclare désormais ouvert le club des célibataires affirmées, assumées et confirmées !
LUTTONS CONTRE LES TROUF* DU STYLE DE JEAN !
Dernière édition par Bellatrix Black le Dim 9 Oct 2011 - 16:34, édité 2 fois