1 20 tortures pour achever Gilderoy Lockhart ! [hard] Mar 21 Déc 2010 - 23:05
Bellatrix Black
Le topic sur les 1000 façons de tuer Gilderoy Lockhart m'a inspiré une série de tortures que je pourrais lui infliger... (chacune des vingt tortures suivantes est en gras )
Plutôt que sur une liste, je vous narre tout cela dans une petite histoire rédigée de ma plume ? (non travaillée, je vous avertis TT)
Bon, comme je déteste Gi-Gigolo, que je suis affreuse, que j'ai l'occasion de me défouler et que je suis, quand même, censée être LA Bellatrix (partagée avec BellaL ), je propose quelque chose de trash...
(Mais pour résumer, Ely, tu peux inscrire dans la Potterliste que ton Gi-Gigolo à la noix de coco XD est mort de toutes les tortures possibles ! )
Alors alors ?? Ca vous a plu !! Pas trop choqué !! Personnellement, je me suis bien marrée à l'écrire
Plutôt que sur une liste, je vous narre tout cela dans une petite histoire rédigée de ma plume ? (non travaillée, je vous avertis TT)
Bon, comme je déteste Gi-Gigolo, que je suis affreuse, que j'ai l'occasion de me défouler et que je suis, quand même, censée être LA Bellatrix (partagée avec BellaL ), je propose quelque chose de trash...
(Mais pour résumer, Ely, tu peux inscrire dans la Potterliste que ton Gi-Gigolo à la noix de coco XD est mort de toutes les tortures possibles ! )
Âmes sensibles, s'abstenir ! Ce texte présente des pratiques moldues réelles susceptibles d'en choquer plus d'un.
Tout d'abord, MOI, Bellatrix Lestrange, la plus loyale Fidèle du Seigneur des Ténèbres, son bras-droit, sa confidente, celle en qui il a le plus confiance, celle qui lui est dévouée depuis son adolescence et jusqu'à sa mort, sa favorite, sa maîtresse, sa... hum pardon
Je disais donc : MOI, Bellatrix Lestrange, la plus... *se prend un bus * [...], je me glisse discrètement dans la propriété misérable et minablement meublée de... ce... Gigolo à la noix de coco
Hum... L'histoire commence. Avalez vite vos pop-corns sinon vous risquez de tout déverser ou pire... vous étouffer. Mais personne ne le veut, n'est-ce pas ? Enfin, vous, parce que moi...
Mardi vingt-et-un Décembre 2010. L'Hiver fêtait son arrivée officielle et la Pleine Lune l'accompagnait dans cette nuit glaciale, rivalisant de blancheur. Mes pas s'affichant sur l'épais manteau de neige, j'arrivai rapidement au manoir de Gilderoy Lockhart, cet imposteur célèbre pour son égocentrisme effarant, son narcissisme développé à en vomir et l'incroyable facilité avec laquelle il avait réussi à berner les gens en leur narrant dans une "oeuvre" d'une taille encyclopédique les exploits qu'il s'était approprié. Repensant à cela, une grimace de dégoût ne put s'empêcher de fendre mon visage. Mon Maître était véritablement le seul à avoir accompli de grands actes dans le monde. Et ce monde se souviendrait de lui !
Entrant dans sa chambre, je le surpris en train de s'admirer devant son miroir : "Miroir, ô mon beau miroir ! Dis-moi qui est le plus beau du monde ?". Avant même de laisser son interlocuteur magique lui répondre, je brisai le miroir (sept ans de malheur au Lockiki ! ) d'un simple mouvement de baguette, et la majorité des multiples morceaux s'abattirent sur Lockhart, venant découper sa peau et percer ses yeux ! Le plus gros d'entre eux vint même fendre son visage, lui tranchant la peau en diagonale de son front gauche jusqu'à la partie droite de son cou ! Il était encore plus balafré que bébé Potter lui-même... Quelle honte ! Ce Lockhart serait un Sang-Mêlé ou un Sang-de-bourbe que cela ne m'étonnerait guère... Une belle proie, apparemment !
Ne lui laissant que quelques secondes pour hurler, je le prends à bras-le-corps et transplane avec lui ; j'eus beaucoup de difficulté à le maintenir en place dans mes bras car il ne cessait de se débattre par des gestes inutiles. Et dire qu'il ne connaissait même pas l'identité de son ravisseur ! D'un professionnalisme douteux et d'un pathétique navrant...
J'arrivai devant le seuil du Manoir de ma soeur ; je ne cherchai aucunement à cacher cet endroit à ma proie, les éclats de verre encore présents dans les yeux de Lockhart l'empêchaient de voir.
- Rodolphus ! Greyback ! apostrophai-je.
Mon époux et le lycanthrope que je ne connaissais qu'à peine arrivèrent à moi en quelques secondes. Leurs sourires extatiques et l'expression satisfaite qui illuminaient leurs visages me confirmèrent leur future délectation : eux aussi allaient participer ; nous allions donner la question à cet infâme Sang-de-bourbe...
- Greyback, transporte ça dans les cachots ! ordonnai-je.
Fenrir obéit et Rodolphus et moi le suivîmes. La longueur qu'il fallait parcourir jusqu'aux cachots du Manoir Malefoy me surprendrait toujours : cette bâtisse devait faire le double de mon propre manoir... qui était inhabité depuis quelques décennies...
- Greyback, amuse-toi je te prie... J'espère que tu as bien aiguisé tes griffes... sussura Rodolphus.
Pour toute réponse, le lycanthrope eut un sourire carnassier, avant de se jeter sur sa viande. Le hurlement de douleur sous les hachures tranchantes de Lockhart fut pour mes oreilles la plus douce des musiques.
Une belle nuit s'annonçait en perspective.
- ENDOLORIS ! hurlai-je quelques secondes après que Greyback se soit défoulé. ENDOLORIS !
Et je continuais à lancer mon sort favori sur ce corps déjà affaibli ; mais il ne s'agissait là que d'un avant-goût de tout ce que nous avions prévu...
- Il est minuit, Bella, me rappela Rodolphus.
J'arrêtai enfin le traitement, trop léger à mon goût, sur ce Lockhart qui cessa sa litanie de hurlements. J'avais chaud, mon épaisse chevelure noire me pesait et semblait encore plus désordonnée qu'à l'habitude, et mon corset me paraissait encore plus étroit. Soit , mon Maître se chargerait de me le déserrer lorsque la nuit serait presque achevée... A cette pensée, je me léchai les lèvres d'envie. Greyback se mit à sourire également, croyant que je me délectais d'avance de ce qui allait suivre. Mais Rodolphus, qui me surveillait du coin de l'oeil, savait pertinamment que cette légère humification de mes lèvres signifiait que mes pensées étaient tournées vers notre Maître.
Je revins bien vite à la réalité.
- Bien, commençons.
Les sonorités impatientes de ma voix devaient être pressenties par l'usurpateur désormais aveugle, car il frémit et recula automatiquement. Nous ne pûmes retenir des ricanements méprisants.
- Eau ! ordonnai-je.
J'avais décidé d'énoncer chaque torture avec de la mettre en pratique...
Mon époux s'empara dans un coin de la pièce une large bassine remplie d'eau... très peu appétissante. Elle était rempli du sang et des crachats des prisonniers... précédents. Greyback empoigna l'abruti et plongea sa tête dans l'eau, qui ne méritait plus vraiment ce nom. Les bulles que formait l'expiration de l'homme me firent sourire ; il inspira profondément lorsqu'on l'extirpa enfin, avant de créer des bulles à nouveau. La simulation de la noyade durant encore quelques minutes, à l'issue desquelles la peau de son visage trempé semblait être molle et dégouliner en même temps que l'eau rougie.
Sans lui laisser une minute de répit, j'énonçai :
- Sain ! Chacun est sain, petit... Narcissique comme tu es, je suppose que tu dois prendre énormément soin de ta dentition... N'est-ce pas ?
Je lui pris le menton dans ma main et planta mes ongles dans ses joues. Il avait l'air d'un enfant qui allait être puni. Sans la moindre douceur, je lui écarta les dents et souleva sa lèvre supérieure, comme un vétérinaire examinerait la gueule d'un cheval.
- Voyez-vous cela... dis-je à mon mari et au lycanthrope. Ses dents sont parfaitement alignées, d'une blancheur immaculée à en faire pâlir le marbre des colonnes de la salle du trône... Si nous arrangions cela, mmh ?
Greyback maintint le corps de Lockhart par terre, allongé sur le dos. Je m'emparai d'une longue brosse très dure et la pris à l'envers : soudain, sans prévenir, je frappai un grand coup sur les dents de l'homme. Avec un peu de chance, il les avalerait. Le rire qui m'était caractéristique envahit la pièce, alors que les cris du Sang-de-bourbe n'avaient d'égaux que les fracassements du manche de la brosse sur ses dents.
Au bout de quelques minutes qui me parurent trop courtes, Rodolphus m'intima d'arrêter mes gestes en posant sa main sur mon bras. L'interrogeant du regard, interrompue en plein délire, il me montra de la main le visage de ma victime. De légers bruits, clinquant sur le sol comme du cristal, se firent entendre au milieu du silence soudain : ses dents tombaient, une à une, comme des petits morceaux de glace.
La torpeur qui avait tout d'un coup pris possession de la pièce s'évanouit. Rodolphus s'écria :
- A moi, maintenant ! Je veux tirer l'épinard !
- Oui, acquiesçai-je. Je ne veux pas voir les parties génitales de ce Sang-de-bourbe, affirmai-je en tournant le dos aux trois hommes.
Je ne pouvais les voir, mais je devinais, à l'entente des cris de douleur de l'édenté aveugle, que mon époux lui arrachait, avec toute la douceur du monde , les poils du pubis. Il fallait avouer que je n'aurais pas aimé être à sa place.
Rodolphus rhabilla Lockhart et se releva ; je pus enfin me retourner.
- Je suis déçu ! Il n'avait pas beaucoup de poils, par rapport à Fenrir...
Ce dernier montra les crocs en signe de fausse vexation.
- Il devait soigner toutes les parties de son corps si parfait ! ironisai-je.
Greyback ricana, avant de proposer :
- Quelqu'un aurait du feu ?
Nous le regardâmes, interrogateurs devant la cigarette qu'il venait d'arborer fièrement devant lui. Je fus plus rapide que mon mari :
- Mais bien sûr ! Je suis certaine que notre Lockhart a des pieds de cochons ! Pourquoi ne pas les faire frire et mijoter ?
Avec un léger mouvement de baguette, j'allumai le petit bâton blanc du loup-garou qui, prenant avec force la main de l'homme, pressa le bout de sa cigarette contre ses ongles. Peu à peu, l'ongle se mit à brûler, et les hurlements de notre victime n'avaient d'égale que l'odeur affreuse qui se dégageait. Quelques minutes plus tard, les ongles pourrirent et tombèrent. Greyback voulut faire de même avec la main gauche mais je l'en empêchai :
- Oh, ce n'est pas la peine, cette odeur est insoutenable ! m'exclamai-je avec une grimace de dégoût profond.
Même mon époux agitait sa main devant son nez pour chasser l'immonde senteur.
- Bella, retourne-toi à nouveau, je vais procéder au flambage.
J'acquiesçai vivement et tourna encore une fois le dos aux trois hommes : le flambage était l'une de ses tortures favorites : Rodolphus déshabilla entièrement Lockhart et attacha la peau de son pénis avec de la ficelle de papier à laquelle il mit le feu aussitôt. D'après ce qu'il m'avait raconté, la peau brûlait et commençait à faire des ampoules, avant de s'infecter. Il n'avait pu s'empêcher de commenter cette pratique, la qualifiant "d'atroce". Le hurlement de l'homme me confirma cet adjectif.
Rodolphus rattacha le pantalon de notre victime et serra le plus fort possible sa ceinture. Petit amusement entre deux tortures !
- Je veux exploser la gorge ! s'écria soudain Greyback.
Devant nos affirmations, le lycanthrope reprit la cigarette pas entièrement consumée et la glissa tout doucement - si cela pouvait être possible pour un loup ! - dans la gorge de Lockhart.
- AVALE ! hurla-t-il.
- Je doute que la digestion sera facile, ricana mon époux.
Je m'approchai à mon tour de l'homme.
- Tu as soif, Sang-de-bourbe ? C'est l'heure de la soupe ! Rodolphus, amène-moi la bassine de notre première torture !
Lockhart eut un mouvement de recul et fit non de la tête. Ne pouvant pas parler puisqu'édenté et ayant la gorge brûlée par la cigarette, un faible gémissement de protestation naquit au fin fond de sa gorge.
Greyback le maintint solidement, l'immobilisant, et Rodolphus le força à garder la bouche ouverte, tandis que j'y versai tout le contenu de la bassine d'eau rougie par le sang et blanchie par les crachats, sans m'interrompre et lui donner le temps de respirer.
- Je veux du sang ! réclama soudain Greyback.
A peine prononça-t-il ses mots qu'il lança Lockhart dans le mur ; le relevant, il empoigna fermement sa tête et commença à la frapper contre la pierre dure et épaisse des cachots. Le seul lycanthrope parmi les Mangemorts ne cessa que lorsqu'un épais fleuve de sang coula, teintant les cheveux blonds de notre prisonnier.
- Déshabillez-le, maintenant ! Je me fiche bien de le voir intégralement nu ! m'exclamai-je.
Rodolphus s'exécuta alors : il enleva le pantalon à notre victime, le seul vêtement qu'il lui restait ; mon époux reprit la bassine et, d'un Aguamenti développé, la remplit d'eau glacée et arrosa l'homme, tandis que Greyback recouvrait Lockhart de détergent.
Le loup fit léviter le corps et, à l'aide de quelques mouvements de baguettes, le fit rouler sur le sol insoutenablement froid, de manière à ce que des ampoules se forment partout sur son corps.
Arrêtant son geste quelques secondes, Greyback fit signe à mon époux. Rodolphus fit alors exploser les ampoules, faisant gicler du Sang impur.
Nous n'eûmes pas beaucoup de temps à attendre avant que Lockhart ne perde conscience. Greyback décida de le réveiller d'un violent Enervatum.
- Hey, la tortue ! Je veux te voir dégouliner ! Rod, remplis encore la bassine d'eau glacée !
Mon époux refit alors son geste et arrosa de nouveau l'homme. Reprenant l'épaisse brosse raide qui nous avait servi au début de la séance, il brossa le corps entier du Sang-de-bourbe, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le sang apparaisse sur la chair lacérée.
- Ca suffit ! intimai-je à mon mari. Passons à la partie physique !
Cette simple phrase nous fit ricaner tous trois.
Nous saisissâmes une paire de menottes doubles : les deux mains de Lockhart furent attachées ; la première menotte aux poignets et la seconde à mi-chemin de l'articulation... Nous serrâmes très fort et pour cela, nous comptions sur le don de Greyback. Lorsque les doigts commencèrent à gonfler, il fit encore plus pression, ce qui nous fit bien rire.
Puis, lui retirant les menottes, nous testâmes pour la centième fois la position du cheval, notre favorite ! Le Seigneur des Ténèbres, en nous confiant la mission de donner la question, savait pertinamment à quoi nos victimes devaient s'attendre...
Nous bandâmes les yeux de Lockhart, toujours près du mur, et nous attachâmes ses mains et ses pieds ensemble vers l'arrière. Sa tête était posée sur le mur, et nous l'obligeâmes à pencher ses genoux. Lorsqu'il tomba peu de temps après, Greyback le frappa et le remit dans la position demandée.
Nous abandonnâmes bientôt notre torture favorite pour l'obliger à se mettre à genoux comme la grenouille : un sac recouvrit son visage auquel il prenait tant soin auparavant, une main et une jambe furent attachées vers l'arrière et Lockhart fut contraint de s'asseoir sur ses orteils... De même que la torture précédente, Greyback le relevait, le frappait et le positionnait correctement lorsqu'il tombait.
Nous choisîmes la position de la banane pour ce Sang-de-bourbe : nous le forçâmes à s'asseoir sur un tabouret, ses bras et ses jambes toujours attachés ensembles vers l'arrière. Rodolphus se mit derrière lui et lui tira le dos en arrière jusqu'à toucher le sol.
Cela dura une demie-heure bien complète.
Enfin, au bout de trente minutes remplies, Rodolphus redressa Lockhart ; je me positionnai alors devant et commençai à tirer ses jambes, tandis que Greyback, spécialiste du genre, frappa son ventre.
Et ce Sang-de-bourbe avait encore la force de crier !
- La brosse ! Je veux frire les haricots ! s'exclama soudain Rodolphus.
Ses grands gestes paniqués nous firent rire.
Il se saisit de la brosse qui nous servirait une troisième et ultime fois, et commença à frotter contre les doigts de Lockhart, jusqu'à temps que la peau soit mutilée.
Lorsqu'il commença à ralentir, je le poussai doucement et pris le relais : n'ayant aucune pitié, je frottai toujours plus fort le manche de la brosse contre les doigts de notre victime et, à mon plus grand bonheur, les os ressortirent, ce que j'espérais vivement !
Nous obligeâmes alors Lockhart à s'asseoir sur un fauteuil massif qui trônait à l'autre bout de la cellule glaciale.
- J'adore les brodequins, cette torture restera l'une de mes préférées ! se délecta mon époux.
Quatre planches étroites et solides furent fermement attachées autour des jambes de l'homme, et une corde solide liait étroitement ces planches. Greyback enfonça ensuite huit coins en fer à coup de baguette entre les deux planches centrales, imprimant une force cruelle sur les jambes.
J'appliquai des bas en parchemins humides sur ces mêmes jambes et, créant une immense flamme à l'extrêmité de ma baguette, mes deux compagnons les rapprochèrent du feu. Le parchemin se rétracta violemment et Lockhart hurla sous la douleur terrible. Sale Sang-de-bourbe !
Ne me satisfaisant pas de cela, je demandai à Greyback de broyer les jambes afin que les os éclatent.
J'aime beaucoup quand les os éclatent.
L'heure était venue de la torture universelle et mondialement connue : l'écartèlement. Nous plaçâmes notre victime sur le chevalet, ou échelle, sur lequel nous attachâmes les bras en haut et les pieds en bas. Les pieds de l'homme furent reliés à une roue par une corde. Rodolphus se chargea de tourner la roue d'un mouvement de baguette circulaire, et Lockhart fut écartelée.
Cette pratique avait peu de succès chez les Sorciers. Mais elle était tout de même efficace.
- Croyez-vous que l'électricité va fonctionner ? m'enquis-je, légèrement inquiète.
- Bien entendu, Bella, me répondit mon époux. D'autant plus qu'il est tout humide, le courant passera encore mieux ! ajouta-t-il avec un sourire carnassier, auquel Greyback et moi-même répondîmes.
Rodolphus s'empara de la gégène (merci Gegene ! ), une dynamo électrique manuelle, et appliqua les électrodes sur l'oreille gauche de Lockhart et sur ses parties génitales. Je m'étais toujours demandée pourquoi les hommes aimaient bien torturer cette partie-là, mais après tout, ils étaient les seuls à connaître la réponse. Le courant électrique passa alors entre ces deux parties.
Le cri de douleur du Sang-de-bourbe était étrangement faible, cette fois. Se pouvait-il qu'il soit déjà épuisé ? Nous venions juste de commencer !
Un objet de fer de sept pieds au coin de la pièce attira mon regard :
- Nous avons oublié la vierge de Nuremberg ! m'écriai-je, comme si le monde venait de s'arrêter de tourner.
La vierge de Nuremberg... Je l'aimais beaucoup, cette petite boîte ! Ce sarcophage en fer, qui était garni de longues pointes métalliques, avait la propriété de transpercer le corps de celui qui se trouvait dedans.
J'avais hâte d'entendre le bruit caractéristique du déchirement du corps de Lockhart !
Nous poussâmes alors notre victime dans ce coffre et Greyback, d'un coup sec et violent amplifié grâce à son immense force surhumaine, referma le couvercle dans un bruit étrange, mêlange du son du claquement du couvercle, du faible cri du Sang-de-bourbe et des pointes métalliques très aiguës et des poignards quadrangulaires qui avaient transpercé son corps.
Il y en avait tout de même treize à hauteur du sein droit, huit de l'autre côté et deux pour percer les yeux.
J'avais toujours voulu en rajouter, mais mes collègues ne m'ont jamais écoutée. Ce sera pour une autre fois...
Sortant l'homme - non, plutôt la poupée de chiffon ! - de notre vierge de fer chérie, Rodolphus et moi le traînâmes jusqu'au fauteuil de fer.
Greyback empoigna la poire d'angoisse, s'apprêtant à porter le coup ultime.
Nos trois respirations s'accélérèrent en même temps tellement nous étions impatients d'assister à la torture finale.
Le lycanthrope introduisit la poire d'angoisse, munie de piques, dans la bouche.
Soudain, tirant sur la poignée d'un coup sec et plus violent encore qu'une catastrophe naturelle, Greyback activa les ressorts et fit s'ouvrir la poire.
Le crâne explosa.
Gilderoy Lockhart n'était plus...
... qu'un cadavre à nos pieds.
- Ce fut trop court à mon goût ! commentai-je.
Je disais donc : MOI, Bellatrix Lestrange, la plus... *se prend un bus * [...], je me glisse discrètement dans la propriété misérable et minablement meublée de... ce... Gigolo à la noix de coco
Hum... L'histoire commence. Avalez vite vos pop-corns sinon vous risquez de tout déverser ou pire... vous étouffer. Mais personne ne le veut, n'est-ce pas ? Enfin, vous, parce que moi...
Mardi vingt-et-un Décembre 2010. L'Hiver fêtait son arrivée officielle et la Pleine Lune l'accompagnait dans cette nuit glaciale, rivalisant de blancheur. Mes pas s'affichant sur l'épais manteau de neige, j'arrivai rapidement au manoir de Gilderoy Lockhart, cet imposteur célèbre pour son égocentrisme effarant, son narcissisme développé à en vomir et l'incroyable facilité avec laquelle il avait réussi à berner les gens en leur narrant dans une "oeuvre" d'une taille encyclopédique les exploits qu'il s'était approprié. Repensant à cela, une grimace de dégoût ne put s'empêcher de fendre mon visage. Mon Maître était véritablement le seul à avoir accompli de grands actes dans le monde. Et ce monde se souviendrait de lui !
Entrant dans sa chambre, je le surpris en train de s'admirer devant son miroir : "Miroir, ô mon beau miroir ! Dis-moi qui est le plus beau du monde ?". Avant même de laisser son interlocuteur magique lui répondre, je brisai le miroir (sept ans de malheur au Lockiki ! ) d'un simple mouvement de baguette, et la majorité des multiples morceaux s'abattirent sur Lockhart, venant découper sa peau et percer ses yeux ! Le plus gros d'entre eux vint même fendre son visage, lui tranchant la peau en diagonale de son front gauche jusqu'à la partie droite de son cou ! Il était encore plus balafré que bébé Potter lui-même... Quelle honte ! Ce Lockhart serait un Sang-Mêlé ou un Sang-de-bourbe que cela ne m'étonnerait guère... Une belle proie, apparemment !
Ne lui laissant que quelques secondes pour hurler, je le prends à bras-le-corps et transplane avec lui ; j'eus beaucoup de difficulté à le maintenir en place dans mes bras car il ne cessait de se débattre par des gestes inutiles. Et dire qu'il ne connaissait même pas l'identité de son ravisseur ! D'un professionnalisme douteux et d'un pathétique navrant...
J'arrivai devant le seuil du Manoir de ma soeur ; je ne cherchai aucunement à cacher cet endroit à ma proie, les éclats de verre encore présents dans les yeux de Lockhart l'empêchaient de voir.
- Rodolphus ! Greyback ! apostrophai-je.
Mon époux et le lycanthrope que je ne connaissais qu'à peine arrivèrent à moi en quelques secondes. Leurs sourires extatiques et l'expression satisfaite qui illuminaient leurs visages me confirmèrent leur future délectation : eux aussi allaient participer ; nous allions donner la question à cet infâme Sang-de-bourbe...
- Greyback, transporte ça dans les cachots ! ordonnai-je.
Fenrir obéit et Rodolphus et moi le suivîmes. La longueur qu'il fallait parcourir jusqu'aux cachots du Manoir Malefoy me surprendrait toujours : cette bâtisse devait faire le double de mon propre manoir... qui était inhabité depuis quelques décennies...
- Greyback, amuse-toi je te prie... J'espère que tu as bien aiguisé tes griffes... sussura Rodolphus.
Pour toute réponse, le lycanthrope eut un sourire carnassier, avant de se jeter sur sa viande. Le hurlement de douleur sous les hachures tranchantes de Lockhart fut pour mes oreilles la plus douce des musiques.
Une belle nuit s'annonçait en perspective.
- ENDOLORIS ! hurlai-je quelques secondes après que Greyback se soit défoulé. ENDOLORIS !
Et je continuais à lancer mon sort favori sur ce corps déjà affaibli ; mais il ne s'agissait là que d'un avant-goût de tout ce que nous avions prévu...
- Il est minuit, Bella, me rappela Rodolphus.
J'arrêtai enfin le traitement, trop léger à mon goût, sur ce Lockhart qui cessa sa litanie de hurlements. J'avais chaud, mon épaisse chevelure noire me pesait et semblait encore plus désordonnée qu'à l'habitude, et mon corset me paraissait encore plus étroit. Soit , mon Maître se chargerait de me le déserrer lorsque la nuit serait presque achevée... A cette pensée, je me léchai les lèvres d'envie. Greyback se mit à sourire également, croyant que je me délectais d'avance de ce qui allait suivre. Mais Rodolphus, qui me surveillait du coin de l'oeil, savait pertinamment que cette légère humification de mes lèvres signifiait que mes pensées étaient tournées vers notre Maître.
Je revins bien vite à la réalité.
- Bien, commençons.
Les sonorités impatientes de ma voix devaient être pressenties par l'usurpateur désormais aveugle, car il frémit et recula automatiquement. Nous ne pûmes retenir des ricanements méprisants.
- Eau ! ordonnai-je.
J'avais décidé d'énoncer chaque torture avec de la mettre en pratique...
Mon époux s'empara dans un coin de la pièce une large bassine remplie d'eau... très peu appétissante. Elle était rempli du sang et des crachats des prisonniers... précédents. Greyback empoigna l'abruti et plongea sa tête dans l'eau, qui ne méritait plus vraiment ce nom. Les bulles que formait l'expiration de l'homme me firent sourire ; il inspira profondément lorsqu'on l'extirpa enfin, avant de créer des bulles à nouveau. La simulation de la noyade durant encore quelques minutes, à l'issue desquelles la peau de son visage trempé semblait être molle et dégouliner en même temps que l'eau rougie.
Sans lui laisser une minute de répit, j'énonçai :
- Sain ! Chacun est sain, petit... Narcissique comme tu es, je suppose que tu dois prendre énormément soin de ta dentition... N'est-ce pas ?
Je lui pris le menton dans ma main et planta mes ongles dans ses joues. Il avait l'air d'un enfant qui allait être puni. Sans la moindre douceur, je lui écarta les dents et souleva sa lèvre supérieure, comme un vétérinaire examinerait la gueule d'un cheval.
- Voyez-vous cela... dis-je à mon mari et au lycanthrope. Ses dents sont parfaitement alignées, d'une blancheur immaculée à en faire pâlir le marbre des colonnes de la salle du trône... Si nous arrangions cela, mmh ?
Greyback maintint le corps de Lockhart par terre, allongé sur le dos. Je m'emparai d'une longue brosse très dure et la pris à l'envers : soudain, sans prévenir, je frappai un grand coup sur les dents de l'homme. Avec un peu de chance, il les avalerait. Le rire qui m'était caractéristique envahit la pièce, alors que les cris du Sang-de-bourbe n'avaient d'égaux que les fracassements du manche de la brosse sur ses dents.
Au bout de quelques minutes qui me parurent trop courtes, Rodolphus m'intima d'arrêter mes gestes en posant sa main sur mon bras. L'interrogeant du regard, interrompue en plein délire, il me montra de la main le visage de ma victime. De légers bruits, clinquant sur le sol comme du cristal, se firent entendre au milieu du silence soudain : ses dents tombaient, une à une, comme des petits morceaux de glace.
La torpeur qui avait tout d'un coup pris possession de la pièce s'évanouit. Rodolphus s'écria :
- A moi, maintenant ! Je veux tirer l'épinard !
- Oui, acquiesçai-je. Je ne veux pas voir les parties génitales de ce Sang-de-bourbe, affirmai-je en tournant le dos aux trois hommes.
Je ne pouvais les voir, mais je devinais, à l'entente des cris de douleur de l'édenté aveugle, que mon époux lui arrachait, avec toute la douceur du monde , les poils du pubis. Il fallait avouer que je n'aurais pas aimé être à sa place.
Rodolphus rhabilla Lockhart et se releva ; je pus enfin me retourner.
- Je suis déçu ! Il n'avait pas beaucoup de poils, par rapport à Fenrir...
Ce dernier montra les crocs en signe de fausse vexation.
- Il devait soigner toutes les parties de son corps si parfait ! ironisai-je.
Greyback ricana, avant de proposer :
- Quelqu'un aurait du feu ?
Nous le regardâmes, interrogateurs devant la cigarette qu'il venait d'arborer fièrement devant lui. Je fus plus rapide que mon mari :
- Mais bien sûr ! Je suis certaine que notre Lockhart a des pieds de cochons ! Pourquoi ne pas les faire frire et mijoter ?
Avec un léger mouvement de baguette, j'allumai le petit bâton blanc du loup-garou qui, prenant avec force la main de l'homme, pressa le bout de sa cigarette contre ses ongles. Peu à peu, l'ongle se mit à brûler, et les hurlements de notre victime n'avaient d'égale que l'odeur affreuse qui se dégageait. Quelques minutes plus tard, les ongles pourrirent et tombèrent. Greyback voulut faire de même avec la main gauche mais je l'en empêchai :
- Oh, ce n'est pas la peine, cette odeur est insoutenable ! m'exclamai-je avec une grimace de dégoût profond.
Même mon époux agitait sa main devant son nez pour chasser l'immonde senteur.
- Bella, retourne-toi à nouveau, je vais procéder au flambage.
J'acquiesçai vivement et tourna encore une fois le dos aux trois hommes : le flambage était l'une de ses tortures favorites : Rodolphus déshabilla entièrement Lockhart et attacha la peau de son pénis avec de la ficelle de papier à laquelle il mit le feu aussitôt. D'après ce qu'il m'avait raconté, la peau brûlait et commençait à faire des ampoules, avant de s'infecter. Il n'avait pu s'empêcher de commenter cette pratique, la qualifiant "d'atroce". Le hurlement de l'homme me confirma cet adjectif.
Rodolphus rattacha le pantalon de notre victime et serra le plus fort possible sa ceinture. Petit amusement entre deux tortures !
- Je veux exploser la gorge ! s'écria soudain Greyback.
Devant nos affirmations, le lycanthrope reprit la cigarette pas entièrement consumée et la glissa tout doucement - si cela pouvait être possible pour un loup ! - dans la gorge de Lockhart.
- AVALE ! hurla-t-il.
- Je doute que la digestion sera facile, ricana mon époux.
Je m'approchai à mon tour de l'homme.
- Tu as soif, Sang-de-bourbe ? C'est l'heure de la soupe ! Rodolphus, amène-moi la bassine de notre première torture !
Lockhart eut un mouvement de recul et fit non de la tête. Ne pouvant pas parler puisqu'édenté et ayant la gorge brûlée par la cigarette, un faible gémissement de protestation naquit au fin fond de sa gorge.
Greyback le maintint solidement, l'immobilisant, et Rodolphus le força à garder la bouche ouverte, tandis que j'y versai tout le contenu de la bassine d'eau rougie par le sang et blanchie par les crachats, sans m'interrompre et lui donner le temps de respirer.
- Je veux du sang ! réclama soudain Greyback.
A peine prononça-t-il ses mots qu'il lança Lockhart dans le mur ; le relevant, il empoigna fermement sa tête et commença à la frapper contre la pierre dure et épaisse des cachots. Le seul lycanthrope parmi les Mangemorts ne cessa que lorsqu'un épais fleuve de sang coula, teintant les cheveux blonds de notre prisonnier.
- Déshabillez-le, maintenant ! Je me fiche bien de le voir intégralement nu ! m'exclamai-je.
Rodolphus s'exécuta alors : il enleva le pantalon à notre victime, le seul vêtement qu'il lui restait ; mon époux reprit la bassine et, d'un Aguamenti développé, la remplit d'eau glacée et arrosa l'homme, tandis que Greyback recouvrait Lockhart de détergent.
Le loup fit léviter le corps et, à l'aide de quelques mouvements de baguettes, le fit rouler sur le sol insoutenablement froid, de manière à ce que des ampoules se forment partout sur son corps.
Arrêtant son geste quelques secondes, Greyback fit signe à mon époux. Rodolphus fit alors exploser les ampoules, faisant gicler du Sang impur.
Nous n'eûmes pas beaucoup de temps à attendre avant que Lockhart ne perde conscience. Greyback décida de le réveiller d'un violent Enervatum.
- Hey, la tortue ! Je veux te voir dégouliner ! Rod, remplis encore la bassine d'eau glacée !
Mon époux refit alors son geste et arrosa de nouveau l'homme. Reprenant l'épaisse brosse raide qui nous avait servi au début de la séance, il brossa le corps entier du Sang-de-bourbe, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le sang apparaisse sur la chair lacérée.
- Ca suffit ! intimai-je à mon mari. Passons à la partie physique !
Cette simple phrase nous fit ricaner tous trois.
Nous saisissâmes une paire de menottes doubles : les deux mains de Lockhart furent attachées ; la première menotte aux poignets et la seconde à mi-chemin de l'articulation... Nous serrâmes très fort et pour cela, nous comptions sur le don de Greyback. Lorsque les doigts commencèrent à gonfler, il fit encore plus pression, ce qui nous fit bien rire.
Puis, lui retirant les menottes, nous testâmes pour la centième fois la position du cheval, notre favorite ! Le Seigneur des Ténèbres, en nous confiant la mission de donner la question, savait pertinamment à quoi nos victimes devaient s'attendre...
Nous bandâmes les yeux de Lockhart, toujours près du mur, et nous attachâmes ses mains et ses pieds ensemble vers l'arrière. Sa tête était posée sur le mur, et nous l'obligeâmes à pencher ses genoux. Lorsqu'il tomba peu de temps après, Greyback le frappa et le remit dans la position demandée.
Nous abandonnâmes bientôt notre torture favorite pour l'obliger à se mettre à genoux comme la grenouille : un sac recouvrit son visage auquel il prenait tant soin auparavant, une main et une jambe furent attachées vers l'arrière et Lockhart fut contraint de s'asseoir sur ses orteils... De même que la torture précédente, Greyback le relevait, le frappait et le positionnait correctement lorsqu'il tombait.
Nous choisîmes la position de la banane pour ce Sang-de-bourbe : nous le forçâmes à s'asseoir sur un tabouret, ses bras et ses jambes toujours attachés ensembles vers l'arrière. Rodolphus se mit derrière lui et lui tira le dos en arrière jusqu'à toucher le sol.
Cela dura une demie-heure bien complète.
Enfin, au bout de trente minutes remplies, Rodolphus redressa Lockhart ; je me positionnai alors devant et commençai à tirer ses jambes, tandis que Greyback, spécialiste du genre, frappa son ventre.
Et ce Sang-de-bourbe avait encore la force de crier !
- La brosse ! Je veux frire les haricots ! s'exclama soudain Rodolphus.
Ses grands gestes paniqués nous firent rire.
Il se saisit de la brosse qui nous servirait une troisième et ultime fois, et commença à frotter contre les doigts de Lockhart, jusqu'à temps que la peau soit mutilée.
Lorsqu'il commença à ralentir, je le poussai doucement et pris le relais : n'ayant aucune pitié, je frottai toujours plus fort le manche de la brosse contre les doigts de notre victime et, à mon plus grand bonheur, les os ressortirent, ce que j'espérais vivement !
Nous obligeâmes alors Lockhart à s'asseoir sur un fauteuil massif qui trônait à l'autre bout de la cellule glaciale.
- J'adore les brodequins, cette torture restera l'une de mes préférées ! se délecta mon époux.
Quatre planches étroites et solides furent fermement attachées autour des jambes de l'homme, et une corde solide liait étroitement ces planches. Greyback enfonça ensuite huit coins en fer à coup de baguette entre les deux planches centrales, imprimant une force cruelle sur les jambes.
J'appliquai des bas en parchemins humides sur ces mêmes jambes et, créant une immense flamme à l'extrêmité de ma baguette, mes deux compagnons les rapprochèrent du feu. Le parchemin se rétracta violemment et Lockhart hurla sous la douleur terrible. Sale Sang-de-bourbe !
Ne me satisfaisant pas de cela, je demandai à Greyback de broyer les jambes afin que les os éclatent.
J'aime beaucoup quand les os éclatent.
L'heure était venue de la torture universelle et mondialement connue : l'écartèlement. Nous plaçâmes notre victime sur le chevalet, ou échelle, sur lequel nous attachâmes les bras en haut et les pieds en bas. Les pieds de l'homme furent reliés à une roue par une corde. Rodolphus se chargea de tourner la roue d'un mouvement de baguette circulaire, et Lockhart fut écartelée.
Cette pratique avait peu de succès chez les Sorciers. Mais elle était tout de même efficace.
- Croyez-vous que l'électricité va fonctionner ? m'enquis-je, légèrement inquiète.
- Bien entendu, Bella, me répondit mon époux. D'autant plus qu'il est tout humide, le courant passera encore mieux ! ajouta-t-il avec un sourire carnassier, auquel Greyback et moi-même répondîmes.
Rodolphus s'empara de la gégène (merci Gegene ! ), une dynamo électrique manuelle, et appliqua les électrodes sur l'oreille gauche de Lockhart et sur ses parties génitales. Je m'étais toujours demandée pourquoi les hommes aimaient bien torturer cette partie-là, mais après tout, ils étaient les seuls à connaître la réponse. Le courant électrique passa alors entre ces deux parties.
Le cri de douleur du Sang-de-bourbe était étrangement faible, cette fois. Se pouvait-il qu'il soit déjà épuisé ? Nous venions juste de commencer !
Un objet de fer de sept pieds au coin de la pièce attira mon regard :
- Nous avons oublié la vierge de Nuremberg ! m'écriai-je, comme si le monde venait de s'arrêter de tourner.
La vierge de Nuremberg... Je l'aimais beaucoup, cette petite boîte ! Ce sarcophage en fer, qui était garni de longues pointes métalliques, avait la propriété de transpercer le corps de celui qui se trouvait dedans.
J'avais hâte d'entendre le bruit caractéristique du déchirement du corps de Lockhart !
Nous poussâmes alors notre victime dans ce coffre et Greyback, d'un coup sec et violent amplifié grâce à son immense force surhumaine, referma le couvercle dans un bruit étrange, mêlange du son du claquement du couvercle, du faible cri du Sang-de-bourbe et des pointes métalliques très aiguës et des poignards quadrangulaires qui avaient transpercé son corps.
Il y en avait tout de même treize à hauteur du sein droit, huit de l'autre côté et deux pour percer les yeux.
J'avais toujours voulu en rajouter, mais mes collègues ne m'ont jamais écoutée. Ce sera pour une autre fois...
Sortant l'homme - non, plutôt la poupée de chiffon ! - de notre vierge de fer chérie, Rodolphus et moi le traînâmes jusqu'au fauteuil de fer.
Greyback empoigna la poire d'angoisse, s'apprêtant à porter le coup ultime.
Nos trois respirations s'accélérèrent en même temps tellement nous étions impatients d'assister à la torture finale.
Le lycanthrope introduisit la poire d'angoisse, munie de piques, dans la bouche.
Soudain, tirant sur la poignée d'un coup sec et plus violent encore qu'une catastrophe naturelle, Greyback activa les ressorts et fit s'ouvrir la poire.
Le crâne explosa.
Gilderoy Lockhart n'était plus...
... qu'un cadavre à nos pieds.
- Ce fut trop court à mon goût ! commentai-je.
Alors alors ?? Ca vous a plu !! Pas trop choqué !! Personnellement, je me suis bien marrée à l'écrire
Dernière édition par Bellatrix Black le Ven 24 Déc 2010 - 14:57, édité 1 fois