Très triste d'apprendre cette nouvelle, encore une victime de ce fichus cancer. Il était un parfait Ollivander, je n'imagine que lui dans le rôle lorsque je lis les livres. Rien qu'en le voyant on ressentait tout le mystère et la grandeur des baguettes et de sa boutique. J'ai toujours rêvé de le rencontrer sur le chemin de traverse. Il restera une grande part de mon enfance...
Comme tu le dis Hermy nous sommes "condamnés" à voir toutes ces figures adultes de notre univers s'éteindre les unes après les autres, c'est d'autant plus touchant que nous avons grandi avec eux et qu'ils nous ont fait rêver.
Je me joins au levé de baguette pour le grand John Hurt.