Tu sais, un sourire triste n'atteint que la bouche, et n'atteint pas le regard, et donc, pour une personne observatrice, si, ça se voit
Mais ce n'est pas un mal hein.

Et pour cause : Jamais tu ne m'entendras parler de mes soucis. Pourtant j'en ai une sacré liste, crois moi. Et j'ai un sourire de dingue, même quand je dors (dixit mon chéri). Donc tu vois, je te comprends de ce côté là, mais crois moi, certaines personnes font semblant de n'avoir rien vu, mais ceux qui nous connaissent vraiment le voient tout de suite.

Et je pense que personne ne me connait vraiment. Même ma mère qui dit me connaitre par coeur, elle ne sait rien de moi. 

Je sais qu'un sourire, quand on est triste, ça se voit quand même dans le regard, car j'ai tendance à le remarquer. Mais bon...

Au pire, tu peux éventuellement aller voir un psy, ils sont là pour ça, pour t'écouter sur ce qui ne va pas dans ta vie.
Ma cousine a été en voir un après le décès de sa maman, et même si elle a des moments de rechute, ça lui a fait un bien fou, car elle partait droit dans le mur là.

Je suis déjà allée en voir un. Et je n'aime pas le manière de procéder ! 

Et puis, je suis du genre à garder pour moi. Et à tout exploser en larmes.

Oh, faut pas te fier à un, ma cousine en a vu une 10aine avant de trouver le bon. Essaie en plusieurs, tu tomberas sur celui qui te convient, et qui saura chasser tes démons intérieurs

Je ne préfère pas, je suis bien comme ça  Merci quand même ! 

Je vais me coucher, debout 8h pour aller chez le dentiste !

Je suis toujours étonnée (pour ne pas dire effrayée) de voir la rapidité à laquelle on conseille aux gens d'aller voir un psy, étant donné qu'à moins d'aller en CMP et d'avoir des délais incroyables ou de parcourir des kilomètres ou d'avoir une ordonnance du généraliste, ce n'est pas remboursé et on n'a pas tous le budget pour tester tous les psy de la ville avant de trouver celui qui nous convient...

Je n'estime pas avoir confiance en moi mais je m'en tape, i.e. qu'on peut me faire autant de compliments que je veux, je n'y croirai pas si je n'ai pas l'impression que c'est sincère (au pire, je me dis "ouais, cool, parle si tu veux") mais on peut aussi me critiquer, ça ne m'intéresse pas plus. Je suis un peu passée de la fille limite hystérique qui fait d'un pois chiche une montagne à un je-m'en-foutisme un peu extrême mais ça me convient mieux parce que se laisser vampiriser par le regard des autres, c'est exténuant et stupide. Je ne me regarde pas plus que ça dans les miroirs, seulement quand il faut que je me coiffe et que je dois vérifier que j'ai bien étalé ma crème hydratante parce que je m'en fiche. Et encore, je ne me regarde pas, je regarde juste si j'ai bien fait ce que j'ai fait.
Enfin, je trouve que j'ai perdu trop de temps avec ça et je fais des choses beaucoup plus intéressantes depuis que j'ai arrêté de chercher tout ce qui clochait chez moi. Le déclic viendra quand il viendra, il faudra juste que vous ne le loupiez pas et que vous vous donniez un bon coup de pied aux fesses à ce moment.

Bref, essayez de ne pas trop souvent vous retrouver "seule avec vous même" sans n'avoir rien fait ou accompli avant. Sans parler des gens qui ont des problèmes plus graves que vous ou des petits Africains qui meurent de faim, écouter et être écoutée sur des sujets divers et variés, avoir des conversations intéressantes, ça occupe l'esprit avant et après lesdites conversations ; de même, se trouver une (nouvelle) passion ou entretenir l'existante, chercher à s'améliorer, etc, ce sont des bases stables pour commencer à avoir confiance en soi (ou au moins se moquer des autres) parce qu'il ne faut surtout pas compter sur les autres (et encore moins sur l'amour). Alors lisez Guerre et Paix et survivez aux considérations théologiques de Pierre (  ), ou comprenez l'intégrale de La critique de la raison pure ou faites des origamis d'hippogriffes et de phénix ou entamez une fresque ou faites des mosaïques ou de la musique, pour faire court, soyez contentes de ce que vous faites et de tous ce que vous pourrez faire un jour, c'est ce qui compte ! Essayez de bien vous entourer aussi, de parler avec des gens qui ne sont pas tout le temps en train d'inspecter les autres sous tous les angles (c'est un peu triste mais j'ai failli retomber dans ce cercle vicieux il y a quelques mois à cause d'une bande de filles qui étaient tout le temps en train de s'entre dire qu'elles étaient trop belles et qui ne parlaient jamais d'autre chose que du physique de Machin et de Bidule, entre deux "ohhh t'es trop beeelle"  ).
La vie est en effet trop courte pour se laisser embêter par des gens qui ne nous apprécient pas et qui n'aiment pas nos nombreux talents cachés, même s'il s'agit de nos parents.

(Désolée pour le pavé )

Oh j'aime beaucoup ce sujet  c'est une très bonne idée.

Comme certaines de vous j'ai aussi des soucis de confiance en moi, mais je me soigne !  Je suis bien moins timide qu'il y a quelques mois, je me sens bien mieux qu'avant et de plus en plus heureuse tout simplement. J'ai encore quelques moments où je retombe dans des moments coups de blues, mais ils se font de plus en plus rares

Rowley : Si je me permets de conseiller un psy,.c'est parce que je sais que beaucoup de personnes voient ça d'un mauvais oeil,.genre"non c'est réservé aux fous", alors que pas du tout,.il n'y a rien de mal à aller voir un psy. Maintenant si t'es toujours étonnée, pour ne pas dire effrayée, j'en suis navrée.


Pour le reste, j'approuve à 200% ton pavé

Bravo à Row pour ton pavé  !!  
J'approuve à 100 % tout ce que tu dis !
Le lire et appliquer les principes que tu donnes vaut vraiment toutes visites chez un psy ..
Car effectivement, c'est ça la vraie vie et c'est comme ça qu'on avance !
Pourquoi se regarder ou se voir dans le regard des autres ?
A quoi ça sert  ?
A rien à mon sens.. La personne que tu as devant toi à un certain moment de ta vie, sera peut être partie demain vers d'autres conquêtes ou en d'autres lieux.
Je pense que la confiance en sois, se gagne tout d'abord par une prise de conscience de sa propre valeur.
Sorti du boulot et des études, trouver des choses annexes à réaliser pour s'épanouir  ! Que ce soit du tricot, du saut à l'élastique, du bénévolat ou la pratique d'arts en tous genres  peu importe !! 
Faire du ménage très souvent dans notre entourage.
En effet, des parasites se greffent régulièrement autour de nous et il est important pour son bien être intérieur et son équilibre mental de repousser loin de sois tout être pouvant être amené à  polluer ce milieu fragile.
Enfin n'oublions pas que nous avons l'immense chance de vivre dans un pays libre, même si tout n'est pas parfait loin de là, il suffit de regarder 5 mn les infos internationales pour se rendre compte de cette incommensurable avantage !
Bref arrêtons de nous regarder le nombril en nous demandant ce qui ne va pas mais réfléchissons plus à ce qui nous ferait plaisir pour continuer ou commencer à profiter du plus cadeau que nous avons entre la main : la vie  !!

Oulala, voir vos pavés en me réveillant, ça m'effraie ! Je lirai ça plus tard !

Je suis d'accord avec vous mais des fois c'est plus facile à dire qu'à faire, à force d'être rabaissée et critiquée, tu fini par y croire, après je suis d'accord avec Corinne, il faut faire le ménage dans son entourage, mais quand il s'agit de ta famille ou ta belle-famille ça devient plus compliqué. J'ai un énorme manque de confiance en moi et je suis d'une timidité maladive, (mais je me soigne) parce-qu'à force d'entendre ce qu'on dit sur moi, bah tout simplement je fini par me dire que ces personnes ont raison.
Je commence à prendre un peu plus confiance en mois depuis les derniers mois, mais c'est pas gagné, il y a des jours avec et des jours sans, et mon manque de confiance en mois me complique la vie, le moindre coup de téléphone, le moindre rendez-vous est une épreuve.
Pendant ma dernière année en région parisienne, je voyais un psy, j'ai arrêté quand j'ai quitté la région, mais ça me faisait du bien de parler à quelqu'un d'extérieur.

Très joli post Gwèn, ça fait plaisir de voir une personne qui réussi à s'en sortir, même si c'est pas encore ça, c'est toujours mieux qu'au départ, continue comme ça ma belle !!

Je suis bien d'accord avec vous Rowley et Arwen!
Et puis il y a des choses tellement pire dans la vie comme vous dite, on regarde les info 5 min et hop on apprend quelque chose d'horrible... Mais quand on a un coup de blues d'un coup on se sent mal dans sa peau ou quoi ben c'est plus fort que nous...
Mais faut savoir qu'on a tous des problèmes dans nos vies, je connais personne qui a une vie à peu près parfaite...
Donc faut faire avec, et apprendre à apprécier les petits plaisirs de la vie...

Coucou. 
Je viens de lire tous vos pavés. Je doit dire que je suis d'accord. Je vais me mettre en mode racontage de vie, alors si vous ne voulez pas la lire, sautez le paragraphe qui suit et ne lisez que les phrases en gras.. 

Alors, c'est vraiment difficile d'en parler. On m'as déjà dit d'aller voir un psy, certes j'en ai besoin, mais je ne me voit pas aller raconter ma vie à des inconnus qui à tous moments risquent de tous raconter aux parents. Et qui en rajoute une couche par derrière. Non merci alors. La personne qui m'as dit d'aller en consulter un? Ma mère. Oui ma propre-mère. Celle qui me fait des reproches à longueur de journée, celle qui critique mon physique, celle qui se compare à moi, celle... Bref, ma mère. Alors, franchement, je ne voit pas aller consulter, même si j'en ai besoin. 

Je suis désormais dans une période de reconstrution. Mais le problème, c'est que mes parents continuent toujours en même temps à me critiquer, physique et caractère compris. J'essaie temps bien que mal de résister à la vie.
Quand je suis arrivée sur le fow', j'était au bord du sucide. Oui, au bord du sucide. Ca ne se voyait pas forcement. Heureusement, la gentille et douce Mélie est arrivée au secours, et elle m'as sauvé de toutes mes mauvaises pensées.  

Puis après, ca c'est calmé, mes parents ont baissé le pied. J'était heureuse... Je continuai de parler avec Mélie. Puis tous c'est rechamboulé, mes parents ont recommencer. Je n'ai pas eu longtemps de répit. Essayer de vous reconstruire depuis que vous avez 8 ans, c'est compliquer. Surtout que jusqu'a mon inscrisption sur le fow', je n'avais pas réellement d'amis sinceres pour m'aider. 

On vient à la soirée d'hier. J'ai réussi à parler à Chloé (merci beaucoup ma belle) d'un sujet qui me tenais à coeur, l'une des moqueries de mes parents; j'ai essayer de parler à Laure, sans succes, avec Marion, nous avons essayer de nous reconstruire un peu ensemble. Puis j'ai fini vers 3 heures avec mon grand frère adoré, qui as réussi à me convaincre de m'accepter telle que je suis, physique compris, d'avoir confiance en moi, ce qui n'est pas gagné. L'épreuve n'est ps terminée, certes, mais je prouve seulement, qu'avec un peu de volonté, on peut essayer de s'en sortir.

Tous ça pour dire que, non, je n'ai pas besoin de psy, j'ai juste besoin d'être aimée ici, à défaut d'être aimée par ma propre famille. J'avais besoin d'avoir des amis, des amis sincère qui seront toujours la pour moi, comme moi je serai toujours la pour eux. Alors, merci Ludo, Mélie, Marion, Chloé, Gwen (Blackangel) et Aurore. Sans eux, je ne serait plus là pour en parler.

Pour plus d'info, ma boite MP reste ouverte. ^^
(désolée pour ce mini-racontage de vie)

EDIT: Je ne parle pas vraiment du type d'insultes que mes parents m'envoient à la figure, au cas où des garçons passeraient par ici. Si vous voyez se que je veux dire les filles ;-)

Les gens, vous allez me foutre le cafard. Je crois qu'on a tous, plus ou moins, vécu des moments pas simples dans nos vies.
Je ne peux qu'être d'accord avec ce qui a été dit plus haut. Malgré les critiques il faut avancer et se faire notre propre identité. C'est pas simple, surtout quand on est jeune (je pense aux 10-16ans) et qu'on subit des critiques de partout (ami, famille, etc...) 
Je peux vous affirmer que étant ado j'ai gonglée aussi, au lycée ça a été beaucoup mieux, j'ai réussi à me faire un super groupe d'amis avec qui on s'est soudé les coudes. Puis en même temps j'ai rencontré ce forum et je me suis liée d'amitié avec ely et d'autres... ça a bien aidé ! 
Alors certes, on peut me dire que je passe trop de temps ici mais je ne serais jamais assez reconnaissante de ce que ce forum m'a apporté comme bien. Pouvoir se défoulé, s'exprimer comme on veut, parler des choses qu'on aime (HP ou autres...) Bref, moi ça a été ma bulle d'air bien fraiche! 

Continuez à venir si cela vous aide (Miss Lily, quand en plus c'est les parents qui font du mal c'est encore pire! j'espère que tu trouveras une bulle d'air dans ta vie IRL ou ici si ça peut t'aider à avancer)
Les parents ne se rendent pas toujours comptent du mal qui nous font en nous disant certains mots... 

J'arrête là, j'espère que les problèmes de chacun pourront s'atténuer ! c'est pas évident d'avoir confiance en soi et je le sais que trop bien.

Tu n'as pas à me remercier Marine, comme je te l'ai dit, si je peux être une oreille attentive, et éventuellement t'apporter deux-trois conseils, c'est avec plaisir, et ce message est valable pour tous bien sûr

Gwèn-Lily a écrit:après je suis d'accord avec Corinne, il faut faire le ménage dans son entourage, mais quand il s'agit de ta famille ou ta belle-famille ça devient plus compliqué.


Justement, dans ce cas, même si ce n'est pas facile et que ce n'est pas très joli ni très bien accepté, il faut savoir dire qu'on s'en fiche ! Peut-être que les critiques sont vraies, peut-être pas, mais après tout, est-ce que tu y devrais accorder tant d'importance ? Est-ce que ça compte en comparaison de la satisfaction que t'apporte de dresser une belle table pour la communion de ta fille ? Par rapport à tout ce que tu arrives à faire en rapport avec HP ? Plus simplement, est-ce que ta vie pourrait te rendre totalement heureuse et épanouie sans ces critiques ? Si oui, sans envoyer les personnes concernées se faire voir parce que c'est la famille, arrête de les écouter, approuve vaguement si tu sens que ça peut les arrêter un peu mais surtout, montre que tu peux t'en moquer et que ça ne t'empêche pas de faire ce qui te semble bon pour toi, ton mari et tes filles.
De toute façon on trouve toujours un pet de travers chez les autres, ce n'est pas pour ça que le monde entier doit se remettre en question. Tant que tes choix sont motivés par tes envies et la volonté de faire ce qu'il y a de mieux pour ton entourage, il n'y a pas à s'inquiéter !
Bon courage.

Une fois de plus je suis d'accord avec toi Row ...  
Il ne faut pas avoir peur de son ombre ni de s'affirmer en famille.
Je ne vois pas pourquoi il en serait autrement pour ce groupe de personnes.
Il est bien connu qu'on ne choisit pas sa famille mais qu'il faut bien l'endurer, certes, mais pas en être esclave !!
Se faire respecter, c'est se respecter sois-même.
Et il n'y a aucun mal à dire, même à quelqu'un de proche, que ses propos sont allés trop loin et qu'on aimerait désormais qu'il cesse d'aborder tel ou tel sujet.
C'est encore le meilleur moyen d'avoir la paix.

C'est clair !
D'ailleurs, souvent ça clash avec mon grand père qui ne comprend pas du tout mon look (et ne le comprendra jamais, soyons honnête), et qui essaie de me rabaisser avec ça. Sauf que, pas de bol, il est mal tombé avec moi : Je lui réponds. Pas méchamment bien sûr, tout en le respectant, mais je lui réponds. Et donc il me répond. Et donc je lui re-réponds. Et bref, le débat sans fin. Mais au moins il voit que ses propos ne m'influencent en rien du tout, je suis moi, que ça lui plaise ou non, qu'il soit mon grand père ou non

Et bien voilà !! Bravo Chloé  ... !  
Tu es toi et tu le revendiques haut et fort...
C'est comme cela que ça doit marcher.
On est ce qu'on a envie d'être, parce que les autres ont envie que l'on soit.
N'en déplaise ... !!

Exactement.
Puis bon, ça fait 10 ans que j'ai le même look, il a eu le temps de s'y faire quoi. Ce n'est pas le cas ? Bah tant pis pour lui. C'est mon grand père, à côté de ça je l'adore, mais jamais je ne laisserais, lui ou un autre, me dicter qui je dois être, et comment je dois agir. Je fais mes propres choix, bons comme mauvais, et j'en assume pleinement les éventuelles conséquences.

Corinne, je ne suis pas totalement d'accord avec toi. Enfin pour au moins pour mon cas. Je me faisait clasher par mon oncle et mon père. Toujours le pique qui fait mal, en fonction de mes complexes du moments. Quand on me connais un temps soit peu, on lit en moi comme dans un livre ouvert. Alors oui, j'ai beau leur dire d'arrèter gentillement, de les supplier (ce que j'ai déjà fait), de laisser passer, de répondre (mais entre nous, répondre à son père, ca le fait pas trop), ils ne cessaient pas. Ils ne cessent pas. Quand je leur réponds, ils me répondent encore plus forts, encore plus fort. Et ça fait mal. J'ai beau donner un aire de "J'm'en fou, continuez si ça vous chante", au fonds de moi-même je suis meurtrie. Blessée à vie. je peux essayer de faire avec, essayer d'oublier un temps soit peu, mais mes souvenirs seront toujours là. Je pourrait vous en dire des vertes et des pas murs. Les choses comme ça, ca ne s'oublie pas. 
Oui, s'affirmer en famille, c'est plus facile quand on a 20 ans ou plus. Mais moi, du haut de mes 13 ans, tu me voit aller voir mes parents et dire: "Stop, ca suffit" Non. Pas du tout. Ls moqueries continueront de plus belles. Et croit moi, j'ai déjà essayer. Je peux m'affirmer sur mon p'tit frère qui me tappait, je peux m'affirmer sur mes grands-parents à la rigueur, sur mes amis, mais sur mes parents et mon oncle, c'est impossible. 
Ce n'est pas facile.

Forcément qu'à 13 ans c'est très compliqué de taper sur la table et prendre le dessus sur les adultes.
Je ne parlais pas pour ton cas, bien entendu.

Je pense néanmoins que si tu continues à rencontrer des soucis de la sorte, tu devrais peut être te confier au médecin de ton école.
Je ne sais pas en quelle classe tu entres en septembre, mais selon les écoles, il existe à l'intérieur même des établissements des personnes qui sont là pour écouter ce genre de problèmes.
Il faudrait que tu puisses en parler en "live" à quelqu'un.
Je suis certaine que ça te ferait également beaucoup de bien.

Je rentre en 4e. J'ai beau être d'en un collège réputé et ou l'on entre sur concours, il n'y a pas de médecins.   Ils limitent au maximum le personnel. Donc si il y avait un medecin, il occuperait certainement un autre poste genre prof de caté (c'est obligatoire la-bas  ) ou quelque chose dans le genre. Et même si il y en avait un, je n'irai pas, de peur de jugement, de regards ect. Qu'il en parle au directeur adjoint ou autre, tu voit ce que je veux dire? 
Mes problèmes ne s'arrangeront pas, j'en suis certaine. Je ne pourrait trouver la paix que lorsque je ne serait plus dans cette maison de dingue. Et ce n'est pas près d'arriver. Je ne préfère pas voir la personne à qui je parle. Que j'ai confiance, oui. Mais que cette personne connaisse mes parents, non. Impossible. 
Donc, voilà ou j'en suis.  
Mais je suis sûr aussi que ca m'aurait fait du bien.